Mon premier coup de gueule sur le blog… J’ai eu envie aujourd’hui de sortir un peu du cadre de mes chroniques pour réagir à un article paru récemment dans le journal Le Monde et écrit par la journaliste Carine Bizet, qui fustigeait de manière assez pompeuse et hautaine la communauté Bookstagram, et surtout les Bookstagrammeuses qui en prennent grave pour leur grade. Cet article que je qualifierais de gerbant, pointait uniquement ses dérives et la superficialité des échanges et des publications, sans forcément s’attacher à toutes les choses positives qui gravitent autour de ce nouveau phénomène des réseaux sociaux littéraires. Je ne vous mettrai pas de lien sur cet article car je n’ai pas envie de partager ça ici, vous le trouverez facilement dans Google si vous souhaitez le lire.
J’ai ressenti le besoin de réagir face à ce déversement de fiel, qui n’a pas lieu d’être à mon sens, parce que merde alors, il est vachement sympa ce réseau quand même ! Bien entendu, on sait tous que le bashing et le négatif attirent les foules et les vautours, preuve en est quand je chronique un bouquin que je n’ai pas aimé, mes stats explosent littéralement – du genre bouquet final du 14 juillet – … Mais en bonne naïve et grande gentille que je suis, je continuerai de penser que quand on fait les choses avec passion et investissement, on arrive à toucher les gens. J’ai donc décidé aujourd’hui de mettre en avant ce qu’est vraiment la sphère Bookstagram dans laquelle je me sens aussi bien !
Bookstagram est devenu aujourd’hui mon réseau social principal lié à mes activités de blogging. Il est celui où je suis le plus suivie, j’ai doublé le nombre de mes followers depuis janvier dernier et il est un fort générateur de visites sur mon blog.
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