C’était trop beau pour que ça dure, après deux mois de parution du bilan en temps et en heure, me revoilà à nouveau en retard ! La faute à un mois hyper actif sur le plan personnel et à une bonne petite dépression littéraire !
Octobre a été un mois compliqué littérairement parlant. Si j’ai commencé mon mois sur les chapeaux de roue avec l’excellent dernier livre de mon Maître Arnaldur Indridason, s’en est suivie une traversée du désert où je lisais un livre par semaine, et encore ! J’ai été également fort occupée à faire mon itinéraire de voyage comme je vous l’ai régulièrement expliqué. Ajoutez à ça un abandon, un livre que j’ai décidé de ne pas chroniquer parce qu’au bout de 100 pages de lecture, on n’est pas en mesure d’écrire une chronique constructive à son sujet. Ce livre, c’est celui de Maud Tabachnik, La vie à fleur de terre. Je n’avais déjà pas vraiment accroché à L’impossible définition du mal, je pense donc que le style d’écriture de cette auteure n’est vraiment pas fait pour moi. C’est comme ça, ça arrive, on ne peut pas tout aimer en tant que lecteur, et on ne peut pas plaire à tout le monde en tant qu’auteur.
Je vais aussi vous parler dans ce bilan d’Entre deux mondes d’Olivier Norek que je n’ai pas lu en octobre mais il y a quelques semaines déjà car à l’époque, je ne pouvais pas encore vous en parler.
Indéniablement, il y a eu deux livres très marquants durant ce premier mois d’automne, celui de Sophie Loubière, Black Coffee, qui concilie mes deux grandes passions et dont j’ai encore du mal à me défaire, et celui d’Olivier Norek qui m’a laissé un coup de griffe à l’âme.
Vous êtes prêts ? C’est l’heure du bilan !
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