Une chose est sûre, la rentrée polar 2022 n’impactera pas mon budget voyage et pour cause, rien ne me plaît !
Habituellement j’ai une liste longue comme le bras, cette fois les romans qui ont retenu mon attention se comptent sur les doigts d’une main. Les sorties en poche m’intéressent plus que les nouveautés à vrai dire…
Vous l’aurez compris si vous me suivez sur Instagram, je traverse une période particulièrement compliquée niveau lecture. La faute à Blackwater, tout ce que je lis depuis la fin de la saga m’ennuie, aucun polar ou thriller ne trouve grâce à mes yeux.
Considérez donc que si je publie une chronique aujourd’hui c’est que je l’ai assez aimé pour l’avoir terminé.
Je vous parle aujourd’hui d’Au nom du bien, de Jake Hinkson, publié chez Gallmeister.
Je suis dans une période où j’ai envie de lire des thrillers simples, plutôt orientés psychologiques, et surtout pas de polar. J’ai jeté mon dévolu courant juin sur celui-ci parce que la couverture me plaisait (ouais je sais c’est un peu hasardeux de faire ça) et j’ai bien fait !
Je vous parle aujourd’hui de Ma fille, de Jane Shemilt, publié chez Cherche Midi.
Il me semble avoir lu un roman de Paul Cleave avant de commencer mon blog mais je dois vous avouer que je n’ai plus aucun souvenir ni de l’intrigue, ni même de son titre !
Ce roman patientait dans ma PAL depuis… Pfioouuuu ! Tellement longtemps que je ne me souviens même plus depuis quand !
Je vous parle aujourd’hui d’Un père idéal, de Paul Cleave, publié chez Le livre de poche.
J’arrive presque au bout des chroniques des romans lus durant ma pause blog et réseaux sociaux de deux mois. J’ai beaucoup lu sur liseuse, et je pense que je lirai de plus en plus en numérique dorénavant, car ma bibliothèque n’est pas extensible à l’infini et que le tri déjà réalisé dedans est énorme. J’apprécie surtout de pouvoir lire dans le noir, au lit sans avoir de problème pour tenir le bouquin, etc.
Ce roman est mon premier de l’auteur John Hart et je peux d’ors et déjà vous dire que je lirai le reste de ce qu’il a publié en France car il a été un très bon moment de lecture pour moi !
Je vous parle aujourd’hui de L’enfant perdu, de l’auteur américain John paru, publié chez J.C. Lattès.
Ami lecteur, si tu veux un roman qui décape et qui ne te laisse pas une seule seconde pour reprendre ton souffle, j’ai ce qu’il faut !
Paul Cleave a une nouvelle fan ! Il aura fallu attendre cette année pour que je prenne enfin le temps de découvrir l’auteur néo-zélandais, et je pense objectivement que toute sa bibliographie va y passer avant fin décembre !
Je vous parle aujourd’hui de Cauchemar, de Paul Cleave, publié chez Sonatine.
J’ai traversé récemment une grosse période où je n’avais envie de lire que des thrillers psychologiques. Pioché au hasard dans les nouveautés sur Kobo, le hasard fait parfois bien les choses ! Ce roman est en effet tout ce que j’attends d’un thriller psychologique.
Je vous parle aujourd’hui de Tout ce qui est à toi brûlera, de Will Dean, publié chez Belfond.
Je n’ai pas échappé à la déferlante Blackwater. Sitôt revenue sur les réseaux sociaux littéraires, sitôt intéressée par la saga dont tout le monde parle en ce moment.
Pour ceux qui débarqueraient de la planète Mars et qui n’auraient jamais entendu parler de cette série, elle a été écrite et publiée aux Etats-Unis dans les années 80, par Michael McDowell. Ce nom ne vous dit rien ? Moi non plus avant de le lire ! Alors j’ai fait quelques petites recherches à son sujet avant de lire ce premier tome, et entre les couvertures somptueuses et la biographie du bonhomme, je ne pouvais pas résister plus longtemps, et pour cause ! Michael McDowell était écrivain et scénariste, il a écrit l’histoire et le scénario de Beetlejuice de Tim Burton, a co-écrit L’étrange Noël de Mr Jack. Je ne suis pas ne grande cinéphile, mais je voue un culte à Tim Burton…
Ajoutez le fait que mes copains Agnès et Gérald se soient tous deux pris de passion pour la série, ajoutez également les chaudes recommandations de Sir Maxime Chattam qui nous conseille de nous jeter dessus, ajoutez encore les couvertures absolument amaaaaziiiing et canonesquissimes des six tomes, la petite taille de chacun des ouvrages (150 pages à peine) assortie à un tarif tout doux pour mon porte-monnaie (8.40€ le tome pour une si belle œuvre d’art, c’est donné ! )… Comment voulez-vous que je résiste moi qui ne suis que faiblesse ?
J’ai longuement hésité avant de rédiger mon article car je ne savais pas si je devais vous parler de la saga dans un article unique ou si j’allais rédiger 6 chroniques. Ma fainéantise ainsi qu’un sondage sur mon compte Instagram ont finalement fait pencher ma balance, ça sera un article unique !
Je vous parle aujourd’hui de la série Blackwater, de Michael McDowell, publié dans sa nouvelle et sublime édition chez Monsieur Toussaint Louverture.
P.S. Pour les gens qui râlent de voir la série partout, j’ai la solution : prenez le livre de votre choix et déconnectez-vous des réseaux sociaux, vous verrez tout de suite, ça ira mieux =)
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