
Voilà près de deux mois que je n’ai rien publié ici… J’avais dit que vu mon rythme de lecture actuel, j’allais mettre trois mois à lire le dernier roman de Maxime Chattam, il ne m’aura fallu « que » trois semaines finalement ! Le roman n’est pas en cause, c’est juste que je suis occupée à autre chose ces derniers mois, je ne trouve que peu de bouquins qui comblent mes attentes et je me suis tout simplement éloignée de la lecture depuis des mois, et ça passe après tout le reste… Alors les chroniques…
Finalement le mauvais temps est arrivé, il fait nuit tôt, j’ai de nouveau plus de temps pour moi et pour la lecture !
Maxime Chattam est un auteur que je retrouve chaque année avec plaisir et que je suis de manière assidue depuis que je suis ado, alors qu’il débutait tout juste sa carrière. Ce dernier ouvrage publié s’inscrit dans la série Ludivine Vancker, qui est certainement ma préférée de l’auteur après la trilogie du mal. Il n’est pas forcément nécessaire d’avoir lu tous les autres avant, mais c’est préférable quand même afin de voir l’évolution du personnage, comme dans toutes les séries…
Je vous parle aujourd’hui du dernier roman de Maxime Chattam, La constance du prédateur, publié cette année chez Albin Michel.
Pour aller plus loin et avant de lire ma chronique, je vous propose de retrouver l’interview que j’ai réalisée de l’auteur en 2019 : Lumière sur… Maxime Chattam !
Consultez également mes autres chroniques de l’auteur :
- L’illusion – Maxime Chattam
- Un(e)secte – Maxime Chattam
- L’appel du néant – Maxime Chattam
- Le signal – Maxime Chattam
- La patience du diable – Maxime Chattam
- La conjuration primitive – Maxime Chattam
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