
Je ne suis pas en avance pour rédiger cet article, ça fait des jours et des jours que la photo est prise mais par pure flemme de rédiger mes articles en ce moment, je tarde et je tarde et je tarde…
Je vais essayer de continuer à vous faire des sélections de sorties poche, parce que non seulement c’est bon pour le portefeuille et parce que ça se glisse facilement dans le sac, dans la valise (laissez-moi rêver !) et que ça permet un véritable gain de place dans la bibliothèque !
Je n’ai pas encore lu tous ces romans, mais je vous mettrai un extrait de mon article pour ceux que j’ai déjà lus.
A vos listes à acheter !
– Olivier Bal – L’affaire Clara Miller
Un auteur que je suis depuis le tout début de sa carrière, forcément je suis en joie lorsqu’un de ses romans sort en poche chez Pocket !
Extrait de mon article
Côté littéraire, Olivier Bal fait ce qu’il sait faire de mieux, il fait du Olivier Bal. Cet auteur a le talent incroyable de réussir à captiver ses lecteurs de bout en bout. Ça paraît simple comme ça quand tu le lis, et pourtant il y a un réel travail de fond qui est fait pour te donner l’impression que ça glisse tout seul, pour te faire tourner les pages frénétiquement jusqu’à la dernière.
Quatrième de couverture
Son cadavre est remonté, comme celui d’autres femmes, à la surface de l’eau. Six au total… Là-bas, dans les forêts du New Hampshire, le lieu maudit porte un nom : le lac aux suicidées.
Clara Miller était journaliste. Comme Paul Green, le reporter du Globe qui débarque sur l’affaire. Il avait connu Clara étudiante, et ne croit pas un instant à la thèse du suicide.
Un homme l’intrigue : Mike Stilth, l’immense rock star retranchée à quelques kilomètres de là, à Lost Lakes, dans un manoir transformé en forteresse.
L’artiste y vit entouré d’une poignée de fidèles, dont Joan Harlow, redoutable attachée de presse qui veille sur son intimité et se bat comme une lionne dès que l’empire Stilth est attaqué.Mais Paul, lui, a tout son temps. Dans sa vieille Ford déglinguée, il tourne inlassablement autour du domaine. Avec cette question : et si, du manoir, la route menait directement au lac ?
Dans un roman choral vertigineux, Olivier Bal déroule le tapis rouge sang de la célébrité.
Jusqu’à l’incroyable vérité.
– Maxime Chattam – Un(e) secte
Un auteur incontournable de la scène littéraire française !
Extrait de mon article
L’intrigue est située aux Etats-Unis, entre New-york et Los Angeles. Merci Monsieur Chattam, ça me fait revivre de beaux souvenirs de voyages tout ça et je me suis carrément projetée dans des quartiers de Los Angeles que j’ai pu explorer il y a seulement deux mois! J’ai ressenti l’atmosphère particulière qui y règne, j’ai presque senti le sable chaud de Venice Beach sous mes pieds (non ça c’est ton prochain voyage dans quelques jours qui te titille chérie !), j’ai pu comprendre aussi la plongée dans les quartiers difficiles qu’il nous propose, bien loin derrière les strass d’Hollywood. En tout cas, vous avez mis des paillettes dans ma vie de lectrice Monsieur Chattam, en me faisant revivre les mêmes frissons que durant La trilogie du mal, ou La conjuration primitive.
Quatrième de couverture
Et si tous les insectes du monde se mettaient soudainement à communiquer entre eux ? À s’organiser ?
Nous ne survivrions pas plus de quelques jours.Entre un crime spectaculaire et la disparition inexpliquée d’une jeune femme, les chemins du détective Atticus Gore et de la privée Kat Kordell vont s’entremêler. Et les confronter à une vérité effrayante.Des montagnes de Los Angeles aux bas-fonds de New York, un thriller implacable et documenté qui va vous démanger.
– Hervé Commère – Regarde
Extrait de mon article
« La patte de l’auteur, c’est d’écrire un roman mêlant habilement le thriller à la littérature blanche, et de te mettre les émotions en charpie. Quelle intensité, quelle puissance des émotions, quelle écriture incroyable !
Hervé Commère nous prouve qu’il n’y a pas besoin de cliffhangers à chaque chapitre et un rythme démentiel pour nous charmer et nous lessiver.
Je recommande chaudement, mais sers-toi un verre de rhum et n’oublie pas ton paquet de mouchoirs, ça peut aider par moment ! »
Quatrième de couverture
Jadis, Mylène a aimé un homme. Ensemble, ils ont fait les 400 coups. Jusqu’au braquage raté d’une bijouterie en Espagne, au cours duquel les deux amoureux se sont fait prendre. Mylène n’a jamais revu Pascal : il a été poignardé dans sa cellule un soir.
Aujourd’hui, Mylène est libre. Elle travaille dans un dépôt-vente en banlieue parisienne, et vit dans une chambre de bonne. Parfois, le temps d’un week-end, elle loue un appartement quelque part, et s’imagine une autre vie. Celle qu’elle aurait pu avoir si elle n’avait pas commis les mêmes erreurs. Elle rêve.
Ce week-end pourtant, Mylène ne rêve pas : dans la roulotte qu’elle a louée, tout la ramène à Pascal. Les meubles, les objets, il y a même une photo de lui au mur. Cela semble inconcevable, mais on dirait qu’elle est chez lui.
– Sandrine Destombes – Madame B
Je n’ai pas encore lu ce roman, mais l’auteure est devenue une incontournable de la scène littéraire française, elle avait donc toute sa place ici !
Quatrième de couverture
Blanche Barjac, Madame B, est nettoyeur de profession. Malfaiteurs, tueurs à gages et meurtriers, tous font appel à elle pour qu’il ne reste plus une trace de leurs crimes et délits.
Après plusieurs années passées à s’imposer dans ce monde d’hommes, Blanche est devenue une professionnelle respectée dans ce milieu si particulier. Digne héritière de son beau-père qui l’a formée, elle est reconnue pour son efficacité, sa discrétion et son savoir-faire. Si après chacune de ses interventions Madame B garde un indice comme » assurance-vie « , elle n’est pas la seule à accumuler les preuves compromettantes.
En menant l’enquête sur le maître chanteur qui la persécute et la fait douter chaque jour un peu plus de sa santé mentale, Blanche revient sur son passé et réalise que malgré les nettoyages, toutes les taches ne sont pas effacées. Et que chaque acte entraîne des conséquences.
– Karine Giebel – Ce que tu as fait de moi
Je vous entends d’ici : mais pourquoi elle nous parle de Giebel alors qu’elle n’aime pas ce qu’elle écrit ? Eh bien tout simplement parce que je l’ai involontairement reçu, et que je sais que nombreux sont les lecteurs à adorer ce qu’elle fait. La sortie étant toute récente, j’ai décidé de prendre sur moi et de vous en parler malgré tout. J’ai envoyé ce roman à une copine lectrice, qui en fera certainement un meilleur usage que moi =)
Quatrième de couverture
Personne n’est assez fort pour la vivre. Personne n’est préparé à l’affronter même si chacun la désire plus que tout. La passion, la vraie.
Cette histoire commence par un coup de foudre. Un homme croise le regard d’une femme et sa vie bascule. Une sensation de surprise, d’euphorie, mais bien vite l’obsession et le mal être lorsque l’autre n’est pas à vos côtés… ou ne partage pas les mêmes sentiments.
« Je ne sais pas encore vraiment ce qui s’est passé. Pourquoi on dérape, un jour. Et pourquoi on glisse lentement vers l’enfer. Laetitia… Tu ne me pardonneras jamais. »
Cette nuit c’est le grand patron des stups, Richard Menainville, qui doit se confesser de son addiction et répondre de ses actes dans une salle d’interrogatoire. Que s’est-il réellement passé entre lui et son lieutenant, Laetitia Graminsky ?
Extrême.
Sans limite.
Sans règles.
Cette histoire se terminera mal, forcément. Car c’est celle d’un maître chanteur. Un maître devenu esclave… Esclave de cette chose fabuleuse et fatale. La passion, la vraie.
– Bernard Minier – La vallée
Extrait de chronique
J’ai lu ce roman l’an dernier lors de mes vacances dans le Lubéron. Je n’ai pas publié de chronique car je suis non seulement rentrée estropiée de la cheville, mais également complètement déprimée de ce qui m’était arrivé et des longs mois qui allaient suivre, accompagnée de mes béquilles et sans pouvoir rien faire de mes journées. Les chroniques sont donc complètement passées à la trappe, mais j’ai été assez enthousiaste au sujet de ma lecture pour vous recommander sa sortie poche aujourd’hui.
Quatrième de couverture
Une enquête de Martin Servaz qui le confronte aux fantômes de son passé, et à une série de meurtres aux mises en scènes particulièrement sophistiquées et macabres, dans une vallée coupée du monde.
» Je crois que quelqu’un est en train d’agir comme s’il se prenait pour Dieu… «
Un appel au secours au milieu de la nuit.
Une vallée coupée du monde.
Une abbaye pleine de secrets.
Une forêt mystérieuse.
Une série de meurtres épouvantables.
Une population terrifiée qui veut se faire justice.
Un corbeau qui accuse.
Une communauté au bord du chaos.
Une nouvelle enquête de Martin Servaz.
– Antoine Renand – Fermer les yeux
On ne présente plus cet auteur, il est pour moi le meilleur « nouvel auteur » français à l’heure actuelle, et il méritait évidemment sa place ici (et dans chacune de vos bibliothèques !)
Extrait de chronique
Antoine Renand est un prodige et un surdoué de l’écriture, il est l’un des meilleurs jeunes talents de la scène littéraire française, et quelque chose me dit qu’on n’a pas fini d’entendre parler de lui.
Quatrième de couverture
Un enquêteur à la retraite, hanté par une erreur qu’il estime avoir commise quinze ans plus tôt.
Un jeune auteur, considéré comme le plus grand spécialiste français des tueurs en série.
Une brillante avocate, dévouée à la défense d’un homme victime, selon elle, d’une effroyable injustice.
Ensemble, ils devront débusquer le plus insaisissable des prédateurs.
2005.
Dans un village perché d’Ardèche, la petite Justine, sept ans, disparaît.
Rapidement, les habitants s’organisent et lancent des battues dans la nature environnante.
Les recherches se prolongent jusque tard dans la nuit mais ce n’est qu’au petit matin que le gendarme Tassi découvre quelque chose…