Juin 2020, plus petit bilan de l’histoire de mon blog. Ah j’ai pas beaucoup lu en juin hein ! Entre mon quasi burn-out niveau boulot, mes vacances à préparer en dernière minute alors que je m’y prends habituellement des mois à l’avance, mes vacances en elles-mêmes qui ont été riches en découvertes, en vadrouilles et en heures de sommeil, la lecture est passée complètement à la trappe au moins de juin ! Clairement, ça ne me pose pas de problème et je ne me sens ni contrainte ni coupable, je ne me fixe pas de temps de lecture, je lis quand ça me chante, quand j’ai le temps, quand j’ai la tête à ça aussi, et ça n’a pas été le cas jusqu’à mon retour de vacances. Par contre maintenant que je suis enfin reposée et que j’ai bien déconnecté de tout, j’enchaîne à nouveau les bouquins avec plaisir et je pense que juillet sera bien plus prolifique !
Je n’ai eu que des bonnes lectures le mois dernier, en même temps je n’ai pas pris trop de risques vu mes choix d’auteurs, ah ah !
Trêves de bavardages, place au bilan !
- Barbara Abel – Et les vivants autour (Belfond)
« Rarement déçue de Barbara Abel, elle sait mettre le doigt où ça fait mal, c’est intelligent, bien construit, ça se lit tout seul, et je n’en ai fait qu’une bouchée en moins de 24h. »
- Hervé Commère – Regarde (Fleuve Editions)
« La patte de l’auteur, c’est d’écrire un roman mêlant habilement le thriller à la littérature blanche, et de te mettre les émotions en charpie. Quelle intensité, quelle puissance des émotions, quelle écriture incroyable !Hervé Commère nous prouve qu’il n’y a pas besoin de cliffhangers à chaque chapitre et un rythme démentiel pour nous charmer et nous lessiver. »
- B.A. Paris – Le dilemme (Hugo Thriller)
« Si tu veux un thriller divertissant, qui se lit vite, il est fait pour toi ! Je n’en ai fait qu’une bouchée ! »
- Franck Thilliez – Il était deux fois (Fleuve Editions)
« A chaque fois que tu te dis : « ok, celui-là est son meilleur », il arrive à faire encore mieux. Franck Thilliez nous prouve une nouvelle fois l’étendue de ses connaissances et de son talent. Il faudrait être fou pour ne pas l’aimer. »