La p’tite pile à lire des vacances ! Si je n’ai que très peu lu aux Etats-Unis en septembre dernier en raison d’un planning de vadrouilles absolument décapant, je pense qu’en Martinique je prendrai un peu plus de temps de me poser au calme parce que l’année a été mouvementée et par moment difficile, et j’ai besoin de faire un vrai break en prenant ma dose de soleil (dit celle qui a prévu 12 randos sur 15 jours… 😀 )Voilà donc ceux qui m’accompagneront sous le soleil de décembre !Vous les connaissez ? Déjà lus ?
- Encyclopédie de la connerie – Samir Bouadi & Sébastien Dourver
« La connerie est un sujet sérieux, pour ne pas dire grave. Un sujet trop grave pour être confié aux gens sérieux, tout comme la guerre, qui, pour Clemenceau, était un sujet trop sérieux pour être confié à des militaires. Il semblerait que l’époque soit particulièrement fertile en connerie. Et ce pour une simple raison : jamais, dans l’histoire de l’humanité, les êtres humains n’ont eu accès à autant de savoir objectif, jamais elle n’a atteint un tel degré de maîtrise technologique et scientifique et, dans le même temps, jamais l’être humain n’aura autant douté de la science et de ses promesses. Dans ce livre, tout le monde va en prendre pour son grade, du plus puissant au plus modeste. Chers amis, nous vous proposons une petite promenade dans les allées ombragées d’une époque gavée à la niaiserie. »
- Le bucher de Moorea – Patrice Guirao
« Derrière chaque paradis, il y a un enfer. Bienvenue en Polynésie !
Dans le lagon de Moorea, les eaux calmes et bleues bercent quelques voiliers tranquilles. Les cocotiers dansent au vent. Les tiarés exhalent leur parfum. Pourtant, à l’abri de la forêt, des flammes se fraient un chemin vers le ciel. Lilith Tereia, jeune photographe, tourne son appareil vers le bûcher. Devant son objectif, des bras, des jambes, des troncs se consument. Et quatre têtes.
Pour quels dieux peut-on faire aujourd’hui de tels sacrifices ? Avec Maema, journaliste au quotidien de Tahiti, Lilith est happée dans le tourbillon de l’enquête. Les deux vahinés croiseront le chemin d’un homme venu de France chercher une autre vie. Un homme qui tutoie la mort.«
- Le manuel du serial killer – Frédéric Mars
« Thomas Harris, 21 ans, est étudiant en lettres à Harvard. Grand amateur de littérature policière, il se retrouve momentanément mêlé à une enquête en cours, portant sur une série de meurtres, dont les victimes sont toutes des enfants. C’est aussi à cette période que le jeune homme commence un stage au service des manuscrits d’une maison d’édition spécialisée dans les romans de gare et le thriller. Chargé du tri au service des manuscrits, il y fait la lecture du Manuel du serial killer, soumis de façon totalement anonyme, et qui ne propose rien moins qu’un mode d’emploi détaillé du tueur parfait ! Entre horreur et fascination, Tom choisit de rejeter le texte. Quelle n’est donc pas sa stupéfaction lorsque, quelques semaines plus tard, il découvre ce livre en vitrine de toutes les librairies… et publié sous son propre nom, Thomas Harris ! Commence alors une véritable descente en enfer, à la limite de l’absurde : ce livre dont on lui impute la paternité et dont les réimpressions s’enchaînent à un rythme hallucinant, fournit tous les détails des meurtres qui ne cessent d’ensanglanter la région. Et chaque tentative pour prouver à la police, à la justice, mais aussi à ses proches et à lui-même, qu’il est innocent, rapproche Thomas Harris de la cellule où croupit un redoutable prédécesseur, qui avait terrorisé le pays avec des crimes comparables, dix ans plus tôt. Qui est réellement le coupable, qui est l’auteur ? Et qui est Thomas Harris ?«
- Mannhatan chaos – Michael Mention
« New York, 13 juillet 1977. L’été de tous les extrêmes : alors que la ville est en faillite, une canicule sans précédent sévit et le tueur Fils de Sam rôde dans les rues. Tandis que le soleil se couche sur Manhattan, une coupure de courant survient. Huit millions d’habitants sont plongés dans l’obscurité : c’est le black-out et la panique s’empare de la ville. Cloîtré chez lui, rongé par la drogue, le célèbre musicien Miles Davis a mis un terme à sa carrière et s’enlise dans la dépression. En manque d’héroïne, il se résout à sortir en quête d’un dealer lorsque des émeutes se déclenchent. Débute une nuit de terreur, où il va se heurter aux pillards et aux fantômes de Manhattan. Traqué d’un siècle à l’autre, la star déchue fera tout pour survivre, alors qu’un mal mystérieux le ronge de l’intérieur.«
- La disparue de la cabine n°10 – Ruth Ware
« Être témoin d’un meurtre ? Angoissant. Que personne ne vous croie ? Terrifiant.
Une semaine à bord d’un yacht luxueux, à silloner les eaux de Grand Nord avec seulement une poignée de passagers.
Pour Laura Blacklock, journaliste pour un magazine de voyage, difficile de rêver d’une meilleure occasion de s’éloigner au plus vite de la capitale anglaise.
D’ailleurs, le départ tient toutes ses promesses : le ciel est clair, la mer est calme et les invités très sélects de l’ Aurora rivalisent de jovialité. Le champagne coule à flot, les conversations ne manquent pas de piquant et la cabine est un véritable paradis sur l’eau.
Mais dès le premier soir, le vent tourne. Laura, réveillée en pleine nuit, voit la passagère de la cabine adjacente être passée par-dessus bord.
Le problème ? Aucun voyageur, aucun membre de l’équipage ne manque à l’appel. L’ Aurora poursuit sa route comme si de rien n’était.
Le drame ? Laura sait qu’elle ne s’est pas trompée. Ce qui fait d’elle l’unique témoin d’un meurtre, dont l’auteur se trouve toujours à bord… »