Retard assez conséquent pour cette chronique, je reporte depuis 15 jours le moment de l’écrire, pensant naïvement que les jours qui passent m’aideraient à trouver quelque chose à vous dire sur ce bouquin mais… Ce n’est pas le cas !
Chronique de la taille d’un tweet aujourd’hui (rire !), chronique sans en être une d’ailleurs car mon article ne va pas être bien long, mais pour la première fois depuis la création de mon blog, je n’ai pas grand-chose à dire sur mon bouquin et je n’ai pas envie de broder juste pour faire des lignes inutilement.
J’ai pourtant apprécié ma lecture sur le moment, du moins elle ne m’a pas été désagréable mais finalement quand j’y réfléchis je me rends compte qu’il n’en restera rien d’ici quelques semaines. J’ai l’impression que je ne suis pas touchée par ce qu’écrit Sandrine Destombes, ce sont des lectures plutôt passives pour moi. Je ne trouve pas ses livres désagréables mais ils ne me transportent pas forcément. Il y a bien quelques scènes qui tabassent qui ont éveillé mon attention mais je n’ai pas eu le déclic qui aurait pu me faire passer ce livre de « ça passe bien » à « il est bien c’bouquin ».
Ils étaient cinq reste malgré tout un bon polar classique, à lire pour se détendre ou en vacances.
Voilà, c’est tout, c’est l’article qui ne sert pas à grand chose du jour =)
L’histoire (4è de couverture)
Le capitaine Antoine Brémont observe, impuissant, un inconnu se faire torturer. C’est à lui et à personne d’autre que les agresseurs ont envoyé la vidéo. Un SMS lui indique où se trouvent la victime, vivante, mais dans le coma, ainsi qu’une femme séquestrée Les ravisseurs ont promis d’autres violences…
Pour les arrêter et mettre unt erme au massacre, le capitaine Brémont doit comprendre ce qui les anime. Ils l’ont choisi comme interlocuteur privilégié et ce n’est pas un hasard. Mais est-il prêt à affronter ses propres cauchemars ?