Hôtel du grand cerf – Franz Bartelt

Mon article va être bref, il sera sans doute le plus court que j’ai rédigé depuis la création de mon blog, car c’est un abandon cette fois ! J’ai décidé malgré tout d’y consacrer un court article car j’ai lu ce livre dans le cadre de ma participation au jury Prix du Polar Points et que je dois faire un retour de chacune de mes lectures.

Je vais être concise : je n’ai jamais réussi à rentrer dans l’intrigue ni à trouver un intérêt à ce que je lisais…

Pour être honnête, une semaine après l’avoir abandonné alors que j’en étais à la moitié, je n’ai plus aucun souvenir de ma lecture, c’est dire si je me suis ennuyée ! La quatrième de couverture promettait « un chef d’oeuvre d’humour noir », je n’ai pas ressenti d’humour, et encore moins d’humour noir. Suis-je trop rigide ? Suis-je trop portée sur les thrillers qui tabassent sévère quitte à être complètement obtue d’esprit au point de ne pas réussir à m’ouvrir à autre chose ? Je n’en sais franchement rien… Entre lui et moi, ça ne l’a pas fait du tout… Il en faut pour tous les goûts !

Il a séduit de nombreux lecteurs, les avis sont franchement bons d’ailleurs quand on jette un œil sur Babelio par exemple, donc comme je vous l’écris à chaque fois, ne m’écoutez pas quand je n’aime pas un livre, et s’il vous tente, donnez-lui sa chance !

L’histoire (4è de couverture)

Un assassinat et une disparition agitent un village ardennais : ce sera l’ultime affaire de l’inspecteur Kulbertus. Depuis l’Hôtel du Grand Cerf, Kulbertus enquête, Kulbertus montre à tous qu’il comprend les magouilles. Kulbertus mange, aussi, alors que les cadavres s’accumulent. Et un journaliste, sur la piste d’une actrice décédée quarante ans plus tôt, se retrouve sans le vouloir sur celle des drames récents. Le mystère s’épaissit alors que la retraite, elle, semble toujours s’éloigner.